Meteor

"Everyday, there is something new to keep me in love with you"


Je ferme les yeux et je sens que tu frottes ton menton contre mon cou. 

Alors je me retourne pour t'embrasser. Nous restons là dans l'entrée à nous embrasser comme-ci nous n'avions pas peur de croiser quelqu'un. Comme si nous étions légitime. Comme si nous étions maîtres des lieux. 

Je me recule en souriant. Tu as l'air d'être en asphyxie. 

Moi, ce que je veux, c'est que tu sois maître de moi. Mettre de mon corps. Alors je me fais docile, je me fais douce et féline pour toi. Rien que pour toi et pour toi seulement. Tu enlèves ma culotte qui est déjà bien mouillé par mon excitation. Tu me regardes avec cet air coquin qui veut tout dire. Je t'enlève ton pantalon ainsi que ton caleçon laissant ta vigoureuse érection s'exprimer à l'air libre. 
Ton sexe est incroyablement beau et fort. Il me le faut. Je le veux. Je dois l'avoir. Je glisse ma bouche dessus pour te sentir. Tu es à la fois incroyablement fort et fragile. Tu trasaille comme si je venais d'allumer un feu. Ma bouche épouse le contour de ton sexe. Ma langue parcours la moindre parcelle de ce sex symbol. Tu en restes béa. Je pourrais faire ça des heures durant et il me semblerait qu'une minute soit passé. J'y prends plaisir. Te faire l'amour avec chaque centimètre de mon corps. 

Mais déjà tu m'arrêtes. 

"J'en peux plus, faut que je te prennes" 

J'ai à peine le temps de m'avancer que tu me fais poser les mains à plats sur le mur. Tu soulèves mon short en coton et me pénètre comme si j'étais de la cire fondue. Je ne peux pas m'empêcher de lacher un soupir de soulagement. Ma bave sur ton sexe s'ajoute à l'excitation liquide et chaude que je n'avais pas réussi à réprimer. Tu claques mes fesses d'une main assurée. Puis tu te retires brutalement. 

Et là, c'est moi qui m'asphyxie. 

Mon sexe encore chaud en redemande. Et je le sais bien, ce n'est que le début. 

"Je ne veux plus voir aucun vêtements sur toi." 

Tes mots claques dans l'air violemment. Je m'exécute. Je bois tes paroles. J'ai à peine le temps de les enlever que dans un mouvement aérien tu me soulève du sol et me plaque au mur. Tu me laisses glisser jusqu'à ce que ton sexe s’emboîte dans le miens. J'ai l'impression de recevoir un délicieux coup de poignard dans le bas du ventre. Je me demande comment quelque chose d'aussi bon est possible. Tu continues avec une grande vigueur. 

Nous sommes tous les deux en sueur mais je peux continuer et toi aussi, alors pourquoi arrêter? 

Nous enjambons les vêtements jeté à terre. Je m'appuis sur l'une des chaise de la salle à manger, me cambre pour exhiber fièrement mon sexe. Ce trou noir qui attire toutes les étoiles de l'univers, renferme la lumière et bien plus encore. Ce mystère de la nature qui fascine tant les hommes. Synonyme de la vie mais aussi de la destruction. Et toi, comme tout autour de toi, tu ne peux t'empêcher d'être attiré. Cette fois-ci, c'est le dernier round. Tu y vas fort. Très fort, tellement fort. J'hurle à en perdre la voix. Je suis folle et toi aussi. Tu connais ces cris, tu sais ce qu'ils annoncent. Tu m'attrape par les hanches, t'enfonçant dans l'inconnu et déclenchant au passage une pluie cosmique. 

Alors tu te retires et soudain, sur mes fesses, je sens le poids lourd et chaud de la voie lactée. Je me retourne et fini par t'embraser. Je te regarde une dernière fois avant de sombre sous mon propre poids, et là, dans l'obscurité de la nuit, au plus profond de tes yeux, je vois l'étoile qui m'éclaire et que j'aime tant. 

Celle de l'amour.


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